mercredi, avril 30, 2008

Une Angie à Paris(et ses déboires avec azerty)

Commençons d'abord ce post avec un petit update de mes dix derniers jours.

J'avais l'idée d'écrire un peu sur l'exam de philo mais j'ai vraiment manqué de temps avec le déménagement et tout...Disons que je m'étais réveillée 1h30 plus tôt que d'habitude car j'étais trop anxieuse...comme prévu, l'examen étais un régurgitation pure et simple de la matière: du par coeur transcrit sur papier. Malgré ça, j'étais convaincue que j'avais butée ici et là sur des questions difficiles comme "qu'est-ce qui rend une action bonne?" oh well, tout ce que je savais étais que je devais réussir ce cours pour graduer...L'attente s'attendait être longue car je vérifierais mes notes que le 30 avril...

Le déménagement a bien été quoique le farewell aux amies a été difficile...Merci la gang (Maman, Chrissy, Emilie et Aline) pour la photo et la "joke bonne fête" au St-Hubert!!!
De retour à la maison, j'ai passé 2 jours à ranger, à cirer des souliers et à restaurer mes waterfoils. J'ai aussi passé 2 jours à râcler le terrain, mettre du limestone pis à essayer de me trouver un appartement (en vain) sur Ottawa.

Mais passons au plus important...(Angie affiche un large sourire)...suspense...Against all odds, j'obtiens un A brillant en philo...je suis tombé sur le cul littéralement. Je sais pas comment j'ai fais. J'ai du avoir visiblement excellé sur l'exam final et sur la dissert. Pour obtenir A, il aura fallu que j'obtienne un 29/30 ou un 30/30 pour que mon total de points donne au-dessus de 90...des notes parfaites dûres à avoir en philo...J'y comprend rien mais oh well, y'a des choses qui sont mieux à ne pas comprendre. Sans me vanter (car c'est pas mon but), je suis dorénavant une finissante qui aura sa place dans la distinguée liste d'honneur du doyen de la FSSSC car j'ai atteinte la moyenne de 3,82/4,3 (88%)

Sur ce, en ce jour de congé français, je tiens à dire que j'ai officiellement réalisé un rêve et que même si ça ne se voit pas physiquement à travers les mots, je goûte aux nombreux bonheurs qui ont nécessité de nombreuses années, des douleurs et parfois même de profondes remises en question pour y accéder. Et avec le jet-lag et la fatigue qui me tenaille, tout ce que j'ai à justifier, c' est que dans la fin, ça en a vraiment valu la peine

Suite plus tard...je me permet un dodo tranquille après avoir maîtrisé les mystères du clavier azerty...

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